vendredi 25 octobre 2013

Bernard Magrez et Joël Robuchon unis pour le meilleur de la Table

Bernard Magrez et Joël Robuchon viennent de signer l’aménagement de leur maison commune, « L’Hôtel de Bernard Magrez – Joël Robuchon Restaurant»  destiné au tourisme de luxe à Bordeaux...


L’un est homme du vin, entrepreneur hors-pair, seigneur aux quarante châteaux et domaines à travers le monde, dont quatre grands crus classés du Bordelais ; L’autre, Prince de la Gastronomie, ambassadeur planétaire du goût et de la cuisine française qui a compté jusqu’à 28 étoiles au guide Michelin.

Ce projet est né au printemps dernier alors que Bernard Magrez recevait les négociants bordelais dans le grand Salon de sa Fondation (Institut Culturel Bernard Magrez) au Château Labottière, somptueuse bâtisse du dix-huitième siècle, rue Labottière dans un quartier résidentiel de la ville. 

Joël Robuchon, officiait déjà aux fourneaux ce jour-là. Il n’y avait que la rue à traverser. C’est en parlant, au cours de la visite de cet ancien hôtel particulier 1900, situé exactement en face de l’Institut Culturel que l’idée est venue. Joël Robuchon a tout de suite accepté la proposition de son hôte.
Accord de gré à gré conclu dans l’instant, à la manière d’autrefois entre gens d’honneur et de parole, scellé par un «tope-là !» gravé dans le marbre de l’amitié. Ils étaient faits pour se rencontrer.

D’ailleurs ils se croisaient souvent à Macao, Tokyo, Hong Kong, ou New York… A force, ils devaient bien finir pas se trouver.

Cet ermitage fait pour la gourmandise et la sérénité, comprendra six Suites, un Restaurant Gastronomique d’une cinquantaine de couverts, et une partie consacrée à un espace « lounge » selon la formule chère à Joël Robuchon avec « un plat-un verre de vin pour 35 à 40 euros ».


Le Chef promet : « Le restaurant sera luxueux mais sans chichi, ni cérémonial imposant et on s’y sentira bien. Quant à la cuisine, animée par une brigade de trente personnes, nous allons privilégier les produits du terroir et en tirer le meilleur. L’important dans notre métier, est de rendre la simplicité exceptionnelle. Un art difficile. La cuisine sera bien sûr au niveau trois étoiles, précise-t-il, mais c‘est au Michelin seul qu’il appartient de décider. » 

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