Entre héritage de Condorcet, esprit artistique et hospitalité sur mesure, un pied-à- terre parisien où l’histoire éclaire le présent…
Dès qu’on pousse la grille, on entre dans un cocon préservé, étonnamment calme et lumineux, pourtant si proche des gares et du métro. La lumière y règne en maître, modulable à volonté selon les envies : tamisée pour un moment de quiétude, éclatante pour accompagner l’énergie du jour. Elle traverse les grandes fenêtres, glisse sur les parquets anciens, se reflète dans les miroirs toscans, et se colore en mille nuances à travers les vitraux 1900 restaurés avec soin. Dans l’escalier, elle s’anime et s’embrase, portée par une reproduction monumentale de La Fée Électricité de Raoul Dufy, fresque poétique et vibrante qui guide les pas, étage après étage, comme une ode au progrès et à la créativité humaine.
Découvrir le Cotentin à travers un beau-livre...
La direction artistique signée Émilie Maltoff a su préserver l’âme du lieu tout en lui insufflant une modernité douce. Les murs se parent de verts profonds et de terracotta,des teintes en harmonie avec les moulures, le marbre et les boiseries d’origine.Les luminaires élancés d’Henri Burzstyn ponctuent les espaces de halos maîtrisés, tandis que dans chaque appartement, une œuvre originale de l’artiste franco-chypriote Michele Ansermet Papadopoulos rend hommage à une figure des Lumières – Condorcet, Olympe de Gouges, Diderot... – mêlant portraits, symboles et citations dans un langage visuel dense et poétique.
Les appartements : vivre Paris mieux que chez soi
Franchir le seuil de son appartement, c’est entrer dans une bulle de sérénité au cœur de Paris. La lumière, douce et généreuse, glisse à travers les fenêtres à petits carreaux et se voile délicatement de tissus aériens qui dansent au rythme de la brise. Le parquet en chêne blond réchauffe l’espace de sa présence naturelle, apportant une sensation intime et réconfortante. Ici, l’espace se déploie largement, bien au-delà des standards parisiens, offrant un refuge rare où l’on respire pleinement.
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Dans le salon, un canapé aux lignes élégantes, recouvert de lin lavé, se prête aussi bien à la lecture d’un roman qu’à un verre partagé entre amis. Quelques beaux livres, des objets chinés et des touches d’art contemporain rappellent l’âme créative de South Pigalle. La cuisine, compacte mais parfaitement équipée, y compris d’un lave-vaisselle, invite à préparer un repas “chez soi” : plan de travail, vaisselle en céramique, machine expresso, cocotte en fonte. On s’imagine revenir du marché de la rue des Martyrs avec un panier garni, faire mijoter un plat tandis que les bruits de la ville s’adoucissent derrière les murs.
Les chambres, tournées vers une cour calme ou une rue tranquille, sont habillées de teintes apaisantes : blanc cassé, beige rosé, bleu nuit. La literie haut de gamme, avec matelas épais et draps en coton égyptien, promet un sommeil profond après une journée de découvertes. Le matin, la lumière douce se glisse jusqu’au lit, tandis qu’une odeur fraîche de produits Clarins – choisis pour leur qualité – accompagne une douche vivifiante dans la salle de bain au carrelage sobre et à la robinetterie contemporaine. Du studio baigné de lumière au grand trois pièces familial, chaque appartement est pensé pour offrir la liberté d’un vrai pied-à-terre parisien, tout en profitant de l’attention discrète d’un hôtel.
Informations : www.villasopi.com


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