Après le sport et les plaisirs de la neige, l’hiver est aussi la saison
de l’art de vivre. Partager un repas gastronomique avec sa douce moitié
ou un plat typique entre amis font partie des bons moments à Verbier…
Portrait de chef - Mirto Marchesi…
À seulement 32 ans, le chef Mirto
Marchesi accumule déjà une expérience de virtuose de la gastronomie, dont il
fait profiter les clients de la Table d’Adrien à Verbier. C'est tout
naturellement qu'il a suivi le chemin des fourneaux, de l’apprentissage au
Tessin aux plus grandes cuisines comme celle du chef français Bernard Loiseau.
Dès son arrivée au Chalet d’Adrien
en 2009, Marchesi fait ses preuves ; si bien qu’en 2011, on lui propose les
rênes du restaurant étoilé. À même pas 30 ans, le chef Marchesi prouve la
valeur de sa cuisine en confirmant l’étoile Michelin de l’établissement dès la
première année.
Le surdoué de la gastronomie est conscient de la portée de l’unique étoile Michelin de Verbier. Cependant, sa vraie récompense est la satisfaction de ses clients, qui viennent chercher la signature culinaire de la Table d’Adrien : des plats haut de gamme à base de produits du terroir.
Le surdoué de la gastronomie est conscient de la portée de l’unique étoile Michelin de Verbier. Cependant, sa vraie récompense est la satisfaction de ses clients, qui viennent chercher la signature culinaire de la Table d’Adrien : des plats haut de gamme à base de produits du terroir.
Comme le parapente – que Marchesi
aime pratiquer à Verbier – la cuisine est une discipline de haut vol. À un tel
niveau d’excellence, la constance est une qualité primordiale. Pour la
garantir, le chef peut compter sur son équipe et le maître d’hôtel. Rigueur et
organisation, convivialité et confiance, qualité et souci du détail règnent
parmi les 24 personnes qui constituent la brigade pendant le pic hivernal. Les
internautes gourmands salivent devant les créations actuelles de Marchesi,
présentées sur la page facebook et le blog “Verbier dans l’assiette”. Bonne
dégustation !
Le livre consécration de Mirto Marchesi…
Dès décembre 2016, le chef Mirto
Marchesi aura son livre de recettes. À seulement 32 ans, il aura l’honneur de figurer
au palmarès des éditions Favre, au côté des plus grands chefs suisses :
Philippe Rochat, Didier de Courten ou encore Roland Pierroz, précurseur de la
grande gastronomie à Verbier. Avec 18/20 points au guide Gault et Millau et une
étoile Michelin, Mirto Marchesi livre une cuisine empreinte de ses origines
tessinoises et résolument dédiée aux produits valaisans, comme l’agneau du
Cotterg et les fromages d’Eddy Baillifard.
Un air de Méditerranée...
Pour le plaisir des papilles,
Verbier propose une large palette de restaurants qui comblera les fins gourmets
et les gourmands avides de découvertes. Sous la houlette de Mirto Marchesi, La
Table d’Adrien (18 points au Gault & Millau, 1 étoile Michelin) offre une
cuisine gastronomique aux saveurs méditerranéennes. Tandis que l’Arola (14
points au Gault & Millau), dirigé par Sergi Arola, sert des produits
régionaux relevés de notes hispaniques. À la Grange (14 points au Gault &
Millau), Thierry Corthay apprête les produits du terroir et de saison. Au menu
du restaurant de la Cordée (13 points au Gault & Millau) de Marco Bassi :
des plats du terroir avec une touche d’Italie.
Haute Cuisine, la fête du palais…
Imaginé par W Verbier, le dernier
né de l’hôtellerie dans la station, le rendez-vous « Haute Cuisine »
vivra sa deuxième édition en avril 2017. Durant plusieurs jours, une dizaine de
chefs étoilés venus du monde entier raviront les papilles des épicuriens. Afin
de cumuler les plaisirs, des événements créés spécialement allieront plats
d’excellence et notes artistiques inattendues telles que musique, mode ou
design. Et pour laisser un souvenir indélébile de leur passage à Verbier, les
chefs proposeront chaque jour des cours de cuisine exclusifs.
Le goût de l’authenticité…
Le Val de Bagnes est l’une des
régions valaisannes qui valorise le plus les saveurs régionales. Convivial, le
menu valaisan commence toujours par un apéritif où chacun se sert de la fameuse
viande séchée valaisanne IGP, souvent accompagnée par du pain de seigle AOP.
Autre star : la
raclette. Véritable rituel, elle se prépare en faisant fondre
le dessus d’une demi-meule de fromage à racler, de Bagnes évidemment, et se
déguste avec des pommes de terre. Selon la tradition, la reine raclette sort
toujours avec son roi Fendant. Mais les vins rouges valaisans – Humagne, Pinot
noir, Cornalin, Dôle, Gamay – se marient aussi à merveille avec les mets au
fromage. Aussi détentrices de label protégeant leur origine, l’Abricotine et la
Williamine terminent un repas avec délice.
Le fromage à raclette : délice suisse de Bagnes…
Si les spécialités de viande
séchée se dégustent dans tout le Valais, l’authentique fromage de Bagnes,
fromage à raclette réputé dans toute la Suisse, naît face au Grand Combin du
lait des Reines (vaches noires de la race d’Hérens au caractère bien trempé).
Chaque laiterie produit son fromage à raclette ; chacune se distingue par ses
qualités gustatives reconnaissables selon le pâturage, comme les grands
crus.
Eddy Baillifard, le plus célèbre des fromagers suisses…
Véritable figure de la région,
THE fromager suisse, le meilleur ambassadeur des produits bagnards : les
qualificatifs ne manquent pas pour décrire Eddy Baillifard. Celui qui a été « élevé
au fromage de Bagnes » par son grand-père raconte : « le vieux
m’emmenait aux mayens et je le regardais faire la tomme. J ’adorais ce monde
de vaches. ». Depuis, Eddy a repris la fromagerie de Champsec et on trouve
son fameux fromage à raclette AOP "Val de Bagnes 25" dans différents
commerces de la région, ainsi qu’à la « Raclette House ». Géré par
Eddy, ce nouveau lieu convivial de Bruson fait office d’épicerie fine et de
café du village. Pour partager son amour de la région et des fromages, Eddy met
parfois le costume d’ambassadeur auprès de la délégation suisse, comme à Paris
pour l’Eurofoot ou à Milan pour l’Expo universelle. Mais point trop n’en
faut : « moi, si tu m’éloignes plus de trois jours du Mont-Rogneux,
je ne suis pas bien ! », confesse ce Bagnard d’origine protégée !
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